La famille a toujours été importante pour moim, dès mon très jeune âge en plus et je dois avoué que j'ai bien vécu avec elle même si aujourd'hui elle est loin, même très loin. Jeune, j'étais un enfant modèle, selon les autres famille et je dois le dire, mon père était tout de même fière de moi. Il ne me regardait jamais de hjaut se disant qu'il avait manqué son coup avec moi. Jamais. Il se disait que enfin quelqu'un ne serait pas victime de la mort qu'il survivrait et donnerait une nouvelle vie au Barretti. Car oui, Lightway n'est pas mon vrai nom, BArretti me manque, mais le porte ici me ferait trop de mal et serait dangereux pour Leo et moi. Mes frères passeront toujours avant tout, avant mes cours, avant ma copine, avant moi-même et ce depuis que j'ai su parler. Ma famille restera tout ce que j'ai et ils ont fait de moi l'homme que je suis aujourd'hui donc jamais je ne les trahirais.

Deux ans, ça devait faire déjà deux ans que j'avais mit mon nez dans les affaires de mon père et que j'avais décidé d'en prendre part. J'y pense aujourd'hui, et merde je n'aurais jamais du faire ça. Je le regrette oui, mais d'un autre côté non. Sinon je n'aurais jamais connu Jazmine ou encore Agness... J'avais vingt-deux ans quand ma vie a basculée, je dis basculée, je devrais dire : lorsque ma vie c'Est éteinte. On dit souvent qu'au dernier moment on voit notre vie défilé sous nos yeux, je ne suis pas d'accord. C'est la douleur, la souffrance de voir ceux qu'on aime vous voir mourir et puis le noir. Du moins c'est ce que j'ai vécu, le jour de mes vingt-deux ans. Tout le monde était à la maison à m'attendre, moi j'étais quelque part en ville, le nez dans un bouquin bien concentré dans ma lecture. J'étais jeune, mais j'en avais pas mal dans le crâne. Je pouvais jouer les dures, comme je pouvais jouer les naif. Il ne fallait pas me sous-estimé, ou me sur-estimé, il fallait rien attendre de moi, je n'étais que le petit dernier de mon père, le grand mafieux de Venise! Donc mon nom pouvais faire peur, mais pas moi, moi en tant que petit dernier, j'étais la cinquième roue du carrosse, le maillon faible, mais je n'y avais jamais cru, jusqu'à ce fameux quatorze Février. Je marchais, direction la maison, j'avais un long manteau qui m'arrivait au genoux, il faisait quatre degrés celsius. Le temps le plus froid de l'année. J'avais les mains gelé donc je les gardais sous mes bras. Au moment ou j'arrivais à la maison, un van s'arrêta derrière moi et la porte s'ouvrit on tenta de me prendre, mais ils n'eurent que mon manteau, vu ma nervosité. Je me mis à courir quand des hommes sortirent de nul part des armes en main. Je m'arrêtai, figé, ne sachant plus où aller. Après quelques secondes j'apperçu une opportunité de fuite et me mit à courir. Un coup de feu retentit et je sentis une douleur entre mes omoplates. Je continuai de courir essayant de ne pas m'en soucier, mais la douleur devint brûlante et me força à hurler de tout mes poumons. Je n'eus qu'à hurlé que mes agresseurs se mirent à tirer dans ma direction. J'essayais de courir, mais mon pas s'était ralentit. Je reçu un bon nombre de balle dans les jambes me propulsant au sol. Une voix se faufila à mon oreille. « Tomasso!! » Et puis une deuxième, plus horifié. « TOMASSO!!! » Et une troisième, perturbée et tremblante. « To-TOMA! » En ordre, c'était Horatio, l'ainné de la famille, ensuite c'était Michelangelo qui le suivait de près et pour terminé ma soeur... Amedea plus vielle que moi, de quatre minutes dix-huit secondes. Elle était là, sur le porche, horrifié. Je la vis s'effondré sous mes yeux. Non pas, comme moi, non pas d'une balle, non, elle voyait ma douleur dans mes yeux, elle s'était effondré de peur, de tristesse, de douleur. Je fus capable de hurler à nouveau rampant vers eux, mais avant que je ne touche le sol, plusieurs autres projectiles m'avaient atteint et je n'arrivais plus à bouger. Horatio avait déjà son arme en main et abatait chaque tireur en un seul coup. Le tireur d'élite de la famille. Michelangelo courait vers moi et tirant sur chaque personne qui tentait de m'approcher. J'étais au sol, la poitrine serré, n'arrivant plus à respirer, n'arrivant plus à rien. Je me sentis relevé et appuyé contre un corps chaud, une odeur réconfortante, une odeur que je connaissais très bien. Je lève les yeux et tout ce que je vois, c'est Michelangelo en larmes qui tente tant bien que mal de me garder en vie. L'ainé se rapproche à son tour une fois les agresseurs ayant décampé. « Tomasso! Michelangelo! » Je les regarde un après l'autre, difficilement et puis je n'entend que leur voix s'éteindre et puis plus rien.

« Tu pars pour New York avec Tomasso. » Le visage éteint de Michelangelo se montra enfin les mains ouverte vers le paternel. « Quoi ? » Oublié la langue maternelle, dès qu'il était question de partir de la famille, de la ville, ou tout bonnement le pays, c'était soudainement la seconde langue parlé de la famille qui embarquait. Personne dans la pièce n'avait le droit d'utiliser un terme italien ou il serait frappé. C'était la loi de mon père. Personne ne pouvait aller contre ça. « Ne me fait pas répéter. » À ce moment là, j'étais entre la vie et la mort quelque part dans la maison familiale avec notre médecin, Allegra. Elle aurait pu, aurait du devenir la femme de Michelangelo, mais ça n'a jamais aboutit! Elle s'occupait bien de moi depuis déjà six mois et je ne m'étais toujours pas réveillé et celui mon père, c'était signe que je devais quitté le pays, me faire une vie à moi et forçant mon frère à suivre et abandonné sa vie. Il l'avait fait sans réfléchir et honnêtement je crois qu'il n'a jamais regretté ce choix. Moi en tout cas, je n'ai jamais vraiment détesté vivre à New York. Je me souviendrai toujours du jour où j'ai ouvert les yeux, je n'étais déjà plus à Venise depuis déjà un mois que mon frère m'avait dit. En réalité, mon père ne suportait pas d'avoir un légume dans la maison et voulait se débarasser de moi au plus tôt, c'est ce que j'ai toujours cru. J'avais ouvert les yeux j'étais dans ce même lit d'hôpital, mais il semblait plus confortable. Ce n'était plus un lit d'hôpital, ce n'était plus les murs de ma chambre, la panique fut lorsque je réalisai que j'étais seul. Ma voix n'ayant pas servit depuis longtemps, semblait creuse et rauque, je hurlais. Du moins, du mieux que je pouvais. Ça ne prit pas une minute que mon frère débarquait en trombe et me prenait dans ses bras. Je m'étais accroché à lui sans trop comprendre. Je m'accrochais du mieux que je le pouvais avec ces mains meurtri qui ne tenait à rien. Il passa sa main dans mes cheveux, pour me calmer. Je fermis les yeux me laissant  faire et il réussit à me calmer et me laissa m'asseoir dans le lit. Il se mit à tout m'expliquer. « Père ne voulait pas qu'il t'arrive autre chose, tu as passé huit mois dans le coma... il ne suportait pas de te voir comme ça, donc il m'a demandé de t'amené ici, te laisser faire une autre vie. » Mes yeux devinrent rond et je me regardai arranchant la chemise que j'avais. « Eli, arrête! » Il atrapa mes mains et je levai les yeux rond vers lui. « Pourquoi tu m'appelles Eli? » Il passa sa main dans tes cheveux. « Pour notre sécurité, il nous fallait changer de nom. Tu es Elvio Lightway et moi c'est Leonard Lightway. » Je le dévisage longuement, je n'avais pas envie de porter ce nom, mais il semblait tellement inquiet, que je n'ai pas eu le choix de cédé. Je dois dire que je me suis habitué à ce nom et je l'aime bien aujourd'hui. Son visage ce décomposa soudainement et il se leva, l'air noir dans les yeux. Je tentai de me lever, mais ma jambe droite ne voulait pas m'écouter, je terminai donc ma course au sol retenant un cri. Je baissai les yeux et observé cette jambe dénudée. Elle m'horrifiait. Je n'avais aucune idée de ce qui m'était arrivé huit mois plus tôt. Bon, d'accord, je savais que j'avais été la cible d'une fusillade contre ma famille, mais c'est tout. Je n'osais pas demander à Leo, si je dois vraiment l'appeler comme ça, vaut mieux commencer tout de suite, je ne le ferai pas, il m'a l'air mort, j'ai l'impression que je suis la raison de son état et je n'aime pas ça. Aujourd'hui, mon frère, Leo, c'est tout ce que j'ai, tout ce qui me reste et je n'ai pas envie de le perdre, qui lui arrive quelque chose.

J'ai les bras tendu de chaque côté de moi et à chaque main trone trois sacs plein. Je dois dire que j'ai les bras en feu en tenant tout ça. Cela fait six mois que mon frère est en taule et je vais comme si je le prenais bien, que j'allais bien, mais c'était complètement faux. Trois mois plus tôt, Jazmine sortait du coma. Le soulagement que j'ai eut lorsqu'elle a ouvert les yeux. Comme si mon coeur c'était remit à battre. Pourquoi est-ce j'eus cette impression? Simple, dans une famille italienne, dans ma famille, lorsqu'un personne y entre, qu'elle nous trahis ou non, qu'elle nous quitte ou non, elle reste de la famille et pour nous, surtout pour Leo, le plus important c'est la famille. Jaz faisait partie de la famille et pour moi la famille passait avant tout. Donc comme je disais, je rentrais, les deux mains pleines. Je savais très bien que Jazmine était encore à l'appartement, elle n'arrivait as à sortir depuis qu'elle était sortit de l'hôpital. Ce fut avec difficulté que j'ouvris la porte du bout des doigts sans échapper mes clefs ou un sac. Je pousse la porte avec mon dos et entre. « Jaz! Je suis rentrer! Tu peux venir m'aider s'il te plait? » Aucune réponse. Je pars à la cuisine déposer les sacs et retourner fermer la porte. « Jaz ? » Je traverse l'appartement, elle n'est pas au salon, je me rend alors à sa chambre. J'ouvre la porte sans prévenir et la voit installer sur le bord de la fenêtre un album à la main. Je pousse un soupire et passe ma main dans mes cheveux. « T'as pas appris à frapper avant d'entrer? » Je croise les bras sans répondre à cette attaque de sa part. Je savais qu'elle n'allait pas bien. Je fis un pas vers elle et m'arrêter pour la regarder. « Tu viens m'aider? » Elle ne me répondis pas. Je poussai un soupire et m'approchai à nouveau et pose ma main sur son épaule, elle la retire aussi tôt. Je me mit face à elle et la regardai. Je pris l'album, le fermai et le lançai sur son lit. Cet agissement la força à me regarder. Je passai ma main sur son menton avec un fin sourire. Elle se leva et se colla à moi. Je la serrai doucement et embrassai son front. Je la traînai hors de sa chambre vers la cuisine, à la grande lumière. « Arrête de t'appitoyer comme ça, tu trouveras quelque chose. » Je l'installai au comptoir et lui sortit un petit quelque chose, qu'elle n'aurait su résister. Je tendis le bras vers une armoir et lui sortit ce fameux chocolatg noir que je lui achetais souvent à l'époque. Je revins vers elle et m'appuyai sur le comptoir. Je la déposé sous sessss yeux et lui fis un joli sourire attendant qu'elle la prène pour s'attaqué à ce tendre pêché mignon.