Sujet: (fd) ≈ but that was when i ruled the world. Ven 1 Aoû - 23:21
flynnagan alaric dawson
ft adam brody
Je me prénomme flynnagan alaric schiesser-dawson et je suis venu au monde le vingt-cinq aout mille neuf cent quatre vingt deux à genève, en suisse, il y a maintenant trente-deux ans de cela. J'ai des origines suisse et anglaise et j'en suis bien entendu très fier. Je suis certain qu'en regardant ma photo tu te dis, je l'ai déjà aperçu quelque part. Et bien, dans la vie je suis professeur de litterature et malgré tout ce qu'on peut dire, je garde la tête sur les épaules et ne prend pas la grosse tête. D'ailleurs, j'ai rejoint les little italy et je suis fière de faire partie de cette fratrie. Dans ce monde de brutes, je suis hétérosexuel. Si tu me croises dans les rues de New York, tu me confondras sûrement avec adam brody. Je voudrais te dire une dernière chose petite chose, dans la vie tu entendras surement des rumeurs me concernant mais, sache que je suis célibataire. et que je suis bien mieux ainsi.
flynnagan n'a jamais comprit l'étymologie de son prénom ni même comment sa mère avait-elle pu y penser. était-ce le prénom d'un de ces hommes d'un soir? était-ce un héro d'un livre pour enfant? était-ce un homme politique lambda suisse de son époque? il n'en savait rien et avait arrêté de se torturer l'esprit à ce sujet. ≈ avec la sortie, en mille neuf cent quatre vingt dix-sept du film mondialement connu "titanic", il devint la coqueluche de son école, portant le même nom que le personnage principal, romantique et charmant à souhait. cela lui fit une publicité non négligeable auprès de la gente féminine, qui n'était pas sans lui plaire. cela avait été un booster de rencontre au corps à corps. merci, james. ≈ il a un petit tatouage dans le creu du poignée, avec la signature de son père. c'est pour lui rappeler à quel point il doit être fier de son paternel et comme l'absence maternelle ne doit pas lui faire mal. ≈ il a toujours eu une peur bleu du noir. enfant, il obligeait sa mère a lui laiser une lumière dans le couloir pour qu'il puisse toujour sy voir un peu. et, malheureusement pour elle et pour leur facture d'électricité, flynn avait une sorte de radar qui l'obligeait à se réveiller même en plein milieu de la nuit si la lumière venait à s'éteindre. aujourd'hui, dans son appartement new-yorkais, il a trouvé la technique des rideaux, qui laisse tout de même filtrer la lumière des rues jamais endormie. ≈ ses parents sont morts, il y a de cela quelques mois. accident de voiture. terrible. mais, le bon coté de la chose, c'est qu'il a hérité de la fortune de son père et de toutes ses actions, étant son seul fils. il est donc devenu riche et continue de s'enrichir par les bons placements de son père. merci, papa." ≈ il aime la gent féminine autant qu'il déteste la gent masculine dans son lit. il n'est pas homophobe, mais il est vrai qu'il a du mal avec les marques d'affection publique, qu'elles soient hétéro ou homosexuelles. mais cela ne l'a jamais empêché de fricoter dans un lieu public, à l'abri des regards, avec une jeune demoiselle rencontrés quelques heures au paravant..
when I said life I said mine
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle spf et j'ai plus de la majorité. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à un forum de pub. Ce forum est top alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise adam brody comme avatar et mes images ont été faites par brow. Mon personnage est un personnage inventé.
Dernière édition par Flynnagan Dawson le Sam 2 Aoû - 12:50, édité 3 fois
Flynnagan Dawson
I'M COSMOPOLITE BABE
MESSAGES : 23 CRÉDITS : tearsflight. INSCRIT LE : 01/08/2014 PSEUDO/PRÉNOM : spf. CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : adam brody.
Sujet: Re: (fd) ≈ but that was when i ruled the world. Ven 1 Aoû - 23:21
don't you mind my story
Je te reconnaîtrai entre mille.
childhood
Genève. Grande ville suisse, notamment connu pour son jet d'eau phénoménal en plein milieu de la baie du lac léman. c'est à cet endroit, à l'hopital universitaire de genève qu'est né flynnagan, durant une tiède journée d’août. car oui, ce jour là, il pleuvait. les gouttes giflaient sans relâche les fenêtres de l’hôpital. durant ce temps, une femme hurlait. elle était en train d'accoucher et avait refusé la péridurale. auelle sotte elle faisait. mais, sa lubie d'accoucher de manière naturelle l'avait emporté. et, si elle devait y rester, comme catherine linton dans les hauts de hurle-vents, elle y serait restée sans aucune peine. heureusement pour son fils, sa mère survécut à son accouchement. les dieux soient loués. magdalena schiesser-dawson était une femme forte et indépendante, soucieuse du détail et complètement fan du roman d'emily brontë. son mari, arroldh dawson, étant un grand représentant commercial, n'était que peu souvent à la maison. il n'avait donc rien eut à dire sur les prénoms de son enfant ; pour le peu qu'il s'en souciait. l'enfant vécut relativement heureux. il faisait bon vivre chez les dawson. jusqu'en mille neuf cent quatre vingt-dix sept. flynnagan avait quinze ans. il se réveilla une nuit, alarmait par une fringale nuptiale, qui l'obligea à se lever. il se leva et se dirigea donc vers la cuisine pour se rasasier. c'est alors qu'il passa devant la chambre de ses parents, ou du moins de sa mère. car oui, son père était rarement chez eux. toujours en déplacement. c'est alors qu'il entendit ce que jamais il n'aurait voulu entendre: des gémissements, des craquements. il n'en fallut pas plus à flynnagan pour comprendre ce qu'il se passait à l'intérieur. ecoeuré, effrayé et humilié, il se retourna et repartit s'enfoncer sous sa couette, se couvrant les oreilles pour s'enlever ses bruits de la tête. évidemment, une conversation s'imposa le lendemain matin. ou sa mère avoua, avec un flegme déconcertant, qu'elle passait rarement ces nuits seules et qu'elle s'étonnait que son fils ne l'ait découvert que maintenant. c'est alors que flynnagan le bon, flynnagan le gentil, flynnagan le sauveur, fut enterré, probablement à jamais. les relations entre la mère et le jeune homme stoppèrent. evidemment, il savait que sa mère ne faisait que reproduire les faits et gestes de la cathy des hauts de hurlevent, trompant son mari avec l'amour de sa vie. c'est ainsi que flynnagan arrêta de croire à l'amour. evidemment, à son âge presque avancé, il avait déjà eu des histoires de coeur. mais rien de bien sérieux. et cela se stoppa. sésormais, il n'était plus qu'un bourreau des coeurs, un tombeur, un dépuceleur.
meeting
"bonsoir. puis-je vous offrir un verre?" l'approche n'était surement pas des plus subtiles, mais cela faisait presque une demi-heure que la jeune et belle brune dévisageait notre cher flynnagan. assise au bar d'un bar genévois, la jeune femme, vêtue d'une robe noir en tulle lui arrivant tout juste à mi-cuisse, laissant apparaître des jambes fuselées et interminables, cherchaient à attraper son regard. ses yeux, d'un noir envoutant était l'un de ses plus atouts, même si le reste suivait la perfection de ce regard. Un visage fin, des traits dessinant ses pommette prouvant un âge dépassant la vingtaine, des lèvres charnues recouvertes d'un rouge à lèvre rosé, de longs cheveux bruns et lisses qui lui donnait un air sauvage. elle était divine. à l'annonce de cette proposition, les yeux de la jeune demoiselle pétillait de joie et d'autosatisfaction. elle avait réussi. et elle ne croyais pas si bien dire... ils passèrent la soirée à l'écart, en sirotant leur verre, à parler, plaisanter, se regarder, s'admirer, se chercher. le jeu devenait de plus en plus exquis. il faut dire que flynn était devenu un maitre en la matière: il n'en était pas à sa première proie. agé de vingt-sept ans maintenant, il était même un ténor de la séduction. c'est ce que la jeune femme put voir. au bout de quelques heures de connaissance, le jeune homme, peaufinant son jeu d'acteur, s'approcha de l'oreille droite de la jeune fille et lui susurra quelques mots. "tu ne m'as toujours pas dit ton prénom" et c'est ainsi que, les joues rosées par la gêne, la jeune demoiselle lui énonça, de sa voix claire et cristalline: "sélina." et ce prénom, il s'en souviendrait. surtout la nuit qui suivit cette soirée. la demoiselle était encore pucelle. mais elle voulait lui donner ce privilège là. il ne s'y refusa pas, même si cela le gênait: il n'avait nullement l'intention de la revoir. c'est ainsi qu'ils passèrent leur première nuit ensemble. le lendemain matin, dans les bras l'un de l'autre, les deux jeunes gens discutèrent en rigolant. se remémorant leur soirée, les faux pas qu'ils avaient pu faire, et puis cette nuit, qui marquait à tout jamais un tournant dans la vie de la jeune demoiselle. c'est alors que flynnagan, soucieux de sa réputation, lui posa la question fatidique. "sélina, quel est ton nom de famille?". il ne le vit qu'à moitié, elle se rhabillant rapidement, pudique de nature. "sélina karlson, pourquoi? tu ne me retrouveras pas dans l'annuaire." le jeune homme, penaud, la regarda en rigolant. "ce n'était pas mon intention, ma belle.". ils se quittèrent bons amis, échangèrent leur numéro de téléphone et se firent la bise en se séparant. quel drôle de soirée. il se trouve, qu'au final, flynnagan et sélina échangèrent de nombreux textos et de longs appels téléphonique. la jeune demoiselle était étudiante en droit et comptait bien devenir avocate, puis partir exercer aux etats-unis. Un point commun entre eux: la passion fièvreuse pour ces terres américaines. jamais flynn ne s'était vu exercer la litterature autre part. car oui, il présentait, cette année là, sa soutenance pour devenir maitre des écoles en literrature anglaise. ce qu'il eut. un soir, flynn reçut un appel de sa mère. oh oui, aurais-je oublier de mentionner qu'il était parti de la maison familial aussi tôt qu'il eut la majorité? il ne pouvait plus y vivre. ainsi, il continuait à communiquer avec sa famille, mais seulement virtuellement. sa mère, fidèle à elle-même, l'appela pour lui rappeler la grande réunion de famille qui avait lieu le samedi qui suivait, à lausanne. il était obligé de s'y rendre, pour faire bonne figure et montrer à quel point sa petite famille était parfaite. soit, il s'y plierait. c'est alors qu'il décida d'envoyer un sms à la sélina, sur un coup de tête. "que fais-tu ce week-end?". La réponse ne se fit pas attendre des heures ; juste trois minutes de battement. "je dois rendre visite à ma famille. désolée.". somme quoi, tout le monde avait des obligations familiales en ce moment.. et c'est ainsi, que le samedi qui arriva, le jeune homme prit le train pour trois quart d'heure en direction de lausanne.
discovering truth
c'est ainsi qu'arriva flynnagan à la gare de lausanne pour se faire récupérer par son père, en taxi. ils sortirent de la ville, du coté sud, pour se diriger vers un mas loué pour le repas. c'était un grand moment de retrouvailles avec toute la famille, toute les branches possibles et inimaginables. il y avait deux cent cinquante personnes de prévus. un joli petit paquet de monde. le taxi se gara, laissant sortir le fils et le père habillés pour l'occasion: costume trois pièces pour l'un comme pour l'autre d'une élégance rare, même si son noeud de cravate était lachement fait. cela lui correpsondait plus. sa veste de smoking sur l'épaule, il s'avancèrent vers l'entrée des lieux. ils poussèrent la porte et entrèrent, son père en premier. la salle était somptueuse. tout était réfléchi et posé là où il fallait. "mon cher filleul!" ceci était zara, sa tante et soeur de sa mère. il l'adorait. le visage du beau jeune homme de vingt-sept ans s'illumina. il la serra fort entre ses bras. "tantine zara. comment vas-tu? cela faisait bien longtemps.". la dame se défit de son étreinte et se lança dans l'un de ses monologues habituels. apparemment, elle s'était trouvée un compagnon, avec qui elle était désormais mariée depuis quelques mois. elle décida de lui présenter. tout en le cherchant dans la foule, ils continuèrent (du moins, elle continua) de parler. "c'est un homme charmant, mon priam, tu verras. il a eu une fille, d'une autre union, qui vient tout juste d'avoir vingt-sept ans, tout comme toi. je te la présenterai aussi. elle est d'une beauté renversante: tout le portrait de son père, évidemment." tante zara trouva son compagnon non loin du bar, en train de siroter un verre de vin en compagnie d'autres hommes de la famille. sa femme se jeta presque dans ses bras, comme s'il lui avait été vitale. flynagan sourit. "priam, je te présente flynnagan, mon neveu préféré. il est le fils de magda, tu sais..". il n'y avait pas besoin d'en dire plus. sa mère était une honte pour lui. c'est pour ça qu'il coupe sa tante et tendit la main vers ledit priam. "et fils d'arroldh dawson." ils se serrèrent la main, entre homme. le nouveau mari de sa tante rigola à gorge déployé. "en voilà une poigne d'homme! bravo mon garçon!" et il lui posa une tape sur l'épaule. la convivialité suisse était sans limite, lorsque l'alcool coulait à flot. ils échangèrent alors quelques mots, parlèrent de la pluie et du beau temps. la conversation revint obligatoirement vers les deux tourtereaux. "alors, priam, votre femme m'a dit que vous aviez une fille de vingt-sept ans. comment s'appelle-t-elle? est-elle ici? je serais ravi de la rencontrer." le père rigola encore une fois et posa son bras autour des épaules du jeune flynnagan. "ma fille est ce qu'on appelle une beauté. c'est l'une des plus belle fille de suisse, pour sur. tu ne la toucheras pas, hein? rassures moi! car maintenant, vous êtes légalement cousins et je ne voudrais pas d'histoires avec la justice!" flynnagan se sentit gêné; à croire que sa réputation l'avait devancé. "bien sur que non, elle est ma cousine désormais, comme vous le dites. je ne veux pas finir derrière les barreaux." cette phrase, dite sur le ton de l'humour, ne fut pas sans agacé le père. mais, il ne lui en tint pas rigueur. "ah, la voilà qui arrive. séli, vient par ici mon enfant!" c'est alors que le cauchemar commença. "oui, père?". flynnagan se retourna vers la jeune fille. une chevelure brune dorée, au regard noir sur le moment terrorisé, des lèvres charnues recouvertes de rouge à lèvre rosé, un visage légèrement marqué, prouvant qu'elle dépassait la vingtaine. flynnagan faillit s'etouffer avec une gorgée de whisky. c'était elle. c'était sélina. "ma fille, puis-je te présenter ton cousin: flynnagan dawson. ». la jeune fille paraissait paralysée, tout comme flynn. ce dernier tenta de sauver la mise en lui prenant la main. "enchanté, sélina.". la jeune fille hocha la tête, ne pouvant pas décrocher un mot. "hé bien, les enfants, partez rejoindre ceux de votre âge, ne restez pas avec de vieux croutons comme nous! amusez vous!". c'est ainsi que priam et zara se débarassèrent des deux jeunes gens. flynnagan garda la main de sélina bien ancrée dans la sienne et la tira vers une porte, menant à une autre partie du domaine, ou personne n'allait. il s'assura que personne ne les avait vu partir et ferma la porte à clef derrière eux. une discussion s'imposait. flynnagan bouillonnait de l'intérieur. non seulement, il n'avait jamais demandé à venir à cette réunion de famille, mais en plus de ça, il apprenait qu'il était susceptible de partir en prison? la colère montait graduellement. "flynnagan, dis quelque chose, tu me fais peur.." le jeune se retourna, le regard mauvais. "tu m'as dit t'appeler karlson! pourquoi ne pas utiliser ton véritable non? comment as-tu pu me mentir ainsi?". alors qu'il disait ça, il s'approcha d'elle et la força à s'appuyer contre un mur. la distance entre les deux s'amenuisaient, mais flynnagan avait le regard vrillé de haine. "je suis désolée.. je ne pensais pas.. enfin, je ne voulais pas donner ma véritable identité.. je ne voulais pas d'embrouilles.. et puis, le mal était fait.". et oui, elle marquait un point. le mal était déjà fait avant de savoir son mensonge. à la bonne heure. "réalises-tu l'ampleur des charges qui pourraient être contre moi si un jour on apprenait ce qu'il s'était passé entre nous? je croupirais en prison toute ma vie! inceste! comment ai-je pu être aussi bete et me faire avoir par un si jolie minois? ». la tension sexuelle était palpable dans ce couloir. les deux jeunes, complètement bouleversés par les évènements, ne voyaient qu'une seule solution pour faire redescendre la pression. ils eurent la même idée au même moment. sélina cramponna fougueusement ses bras au coup du jeune homme, ce dernier passant ses mains sur ses hanches, ses reins. ils s'embrassèrent sauvagement. les gémissements doux et fins de la jeune fille retentirent lorsque les lèvres du jeune homme entrèrent en contact avec la peau de son cou, la jeune demoiselle releva une jambe et vint la verrouiller au niveau de la hanche du jeune homme. Ni une, ni deux, le jeune homme la porta dans les airs, se laissant entouré par les deux cuisses fines et musclés de la jeune femme, et il la colla brutalement au mur en pierre. La jeune demoiselle défit la ceinture et les boutons du pantalon de flynn, qui tombèrent sec à ses chevilles. il en profita alors pour remonter la robe de sélina jusqu'aux hanches. ils savaient pourtant que ce qu'ils faisaient était mal, très mal. leurs corps étaient presque faits pour être ensemble. dans une harmonie parfaite et sensuelle, les deux jeunes évacuèrent leur stress en même temps. ils essayaient de faire ça le plus discrètement possible, flynnagan posant une main sur la bouche de sélina, pour atténuer les bruits qui s'en échappaient. ils furent absents une bonne heure, mais personne ne s'en rendit compte, parmi les nombreux invités. ils se rhabillèrent et se recoiffèrent, se regardèrent et quittèrent un à un et à dix minutes d'intervalle la pièce dans laquelle ils venaient de réitérer l'impassable. flynn savait que ce serait la dernière fois qu'il voyait la jeune femme. il ne voulait pas avoir d'ennuis. le reste de la journée se passa tranquillement. il n'échangea pas un mot, pas même un regard avec sélina qui pourtant, était placée en diagonale de lui au repas. il ne la voyait plus. il ne voulait plus la voir. et, le soir même, dans le train, en rentrant, il prit une décision: il partait pour les etats-unis le plus rapidement possible.
in the city
flynnagan fit les démarches nécessaires pour enseigner ailleurs. les démarches durèrent quand même trois années. il fit ça à toute hâte, prenant n'importe quel proposition aux usa. et, par chance, on lui proposa une place de choix: new york university, l'une des prestigieuses école privée de la ville. flynnagan partit. la semaine d'après. il reçut, bien évidemment, un nombre conséquent de message de la part de la jeune sélina durant ces trois années, auxquels il ne répondit pas, tout comme à ses appels. il quitta la pays sans même l'en informer. il prit quand même le temps d'en informer son père. "promets-nous de revenir souvent, mon fils. nous t'attendrons ici.". cette réponse l'enchanta et l'aida à partir la tête haute. c'est ainsi qu'il quitta genève pour new york. la nostalgie le prit, pensant à tout ce qu'il avait vécu ici. à dire vrai, il avait vécu presque trente ans dans cette petite ville suisse et dans ce petit pays. c'était un choc que de s'en aller. mais il en avait besoin. il devait couper les ponts, tant physiquement que géographiquement, avec ses anciens démons. sélina. il se devait de partir. mais, arriverait-il à s'en débarrasser pour de bons? cela était beaucoup moins sur..
Dernière édition par Flynnagan Dawson le Sam 2 Aoû - 12:30, édité 5 fois
Loan Hawkins
I'M COSMOPOLITE BABE
MESSAGES : 207 CRÉDITS : Mellow Bird/Madness INSCRIT LE : 03/06/2014 PSEUDO/PRÉNOM : Daylight/AnneLaure CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : Leighton Meester
Sujet: Re: (fd) ≈ but that was when i ruled the world. Sam 2 Aoû - 8:47
loan ▬ viens on fait des bébés (comme leighton et adam dans la vraie vie ) merci beaucoup, je la finis dans la journée! jazmine ▬ aaaah je préfère ça quand même! et dire que tu m'avais pas reconnu, j'suis vexée là
je termine ma fiche avant ce soir les amours
Loan Hawkins
I'M COSMOPOLITE BABE
MESSAGES : 207 CRÉDITS : Mellow Bird/Madness INSCRIT LE : 03/06/2014 PSEUDO/PRÉNOM : Daylight/AnneLaure CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : Leighton Meester