Sujet: Il ne faut jamais se fier aux apparences + Zayne Sam 2 Aoû - 9:54
Phillip Zayne Mills
ft Callum Wilson
Je me prénomme Phillip Zayne Mills et je suis venu au monde le 28 mars à New York, il y a maintenant 21 ans de cela. J'ai des origines américaines et j'en suis bien entendu très fier. Je suis certain qu'en regardant ma photo tu te dis, je l'ai déjà aperçu quelque part. Et bien, dans la vie je suis lycéen et malgré tout ce qu'on peut dire, je garde la tête sur les épaules et ne prend pas la grosse tête. D'ailleurs, j'ai rejoint les Manhattan et je suis fier de faire partie de cette fratrie. Dans ce monde de brutes, je suis homosexuel. Si tu me croises dans les rues de New York, tu me confondras sûrement avec Callum Wilson. Je voudrais te dire une dernière petite chose, dans la vie tu entendras surement des rumeurs me concernant mais, sache que je suis célibataire et que je suis bien mieux ainsi.
Le garnement, l'enfant rebelle. Le petit truand. Bien des personnes lui trouvent des surnoms. A la fois réels et irréels. Car, finalement, Zayne, ce n'est pas que ça. Non. Il est d'apparence un garnement. Il a cette bouille d'ange qui cache beaucoup de sombres secrets. Mais, il n'est pas ça. Il n'est plus ça. Malgré sa douleur, malgré ses peines. Il a retrouvé le chemin de la vie. Il a retrouvé le droit chemin. Là, au bout, la ligne d'arrivée. Il est un sportif, qui donne tout pour cela. Même si ça ne fait qu'un an et demi. On lui en demande beaucoup, il en donne beaucoup. Parce qu'il aime ça. Parce qu'il est à nouveau heureux, un petit peu. Alors, il s'en fiche de ce que les autres pensent. Parce qu'il avance, à nouveau. Et il ne veut pas lâcher ça. Il ne veut pas tout gâcher. Même si les colères avec son père son encore bien présentent. Même s'il fait parfois un pas de travers. Il avance. Et, il aime ça.
when I said life I said mine
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Milus et j'ai vingt-trois ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Bazzart. Le forum est superbe alors j'ai décidé de m'inscrire sur le forum sous les traits de P. Zayne Mills. J'utilise Callum Wilson comme avatar et mes images ont été faites par NEPTUNIUM 237. Mon personnage est un personnage inventé.
Dernière édition par P. Zayne Mills le Sam 2 Aoû - 11:03, édité 3 fois
P. Zayne Mills
I'M COSMOPOLITE BABE
MESSAGES : 92 CRÉDITS : NEPTUNIUM 237 INSCRIT LE : 02/08/2014 PSEUDO/PRÉNOM : Milus CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : Callum Wilson
Sujet: Re: Il ne faut jamais se fier aux apparences + Zayne Sam 2 Aoû - 9:55
don't you mind my story
Musique.
Chapitre 1
Rire, larme. Il s'effondre lentement sur son lit. Un rire hystérique dans sa gorge, sur ses lèves. Il ne sait plus trop où il est. Et pourquoi il l'est. Parce qu'il n'y arrive plus. Trop d'alcool, trop de drogue dans le sang. Il ne sait plus. Qui il est. Où il est. Et pourtant, il est bien là, dans sa chambre alors qu'à la porte, le regard bleu de son père le fixe tristement. Il n'y arrive pas. A le sortir du gouffre. Enfant perdu, enfant égaré. Il n'y arrive plus. A faire face à tout ça. A accepter tout ça. Et pourtant, cela fait un an. Une grande année, ou un si petit an. Un an qu'elle est partie. Qu'elle l'a abandonné, lui. Et son père. Père qui ferme doucement la porte après avoir voulu faire un pas en avant. Pour ne pas le faire. Il n'en était pas capable, plus capable. De voir son enfant s'enfoncer dans la noirceur. Il n'en était plus capable. Si elle avait été là, tout cela ne serait pas arrivé. Si elle n'était pas partie, tout cela ne serait pas arrivé. Mais, elle était partie, l'abandonnant, lui, son enfant. Le laissant seul. Seul et pas prêt. Seul et pas encore assez grand. Pour pouvoir faire face à cela. Le départ. La mort. Mort d'un être cher. Mort d'un être indispensable pour vivre, pour grandir. Il n'y arrivait plus. A savoir où il était, à savoir qui il était. Rire hystérique qui se calme. Larmes qui s'écoulent. Il était perdu, Zayne. Perdu dans sa douleur, perdu dans sa vie.
chapitre 2
« Tu as encore redoublé ! MERDE ZAYNE ! Qu'est-ce qu'on va faire de toi !? » Il le regarde sans trop de sentiments, sans trop avoir envie. Il lui a montré le papier, parce qu'il doit le signer et puis basta. Qu'il redouble pour la énième fois, il n'en a rien foutre. Il déteste l'école, le lycée. Il n'aime pas y aller, alors, il n'y va pas. Tout simplement. Et pourtant, il vieillit, il devient de plus en plus différent. De plus en plus étonnant dans la cour de récréation. Idiot trop vieux pour être encore au lycée. Et pourtant, c'est bel et bien le cas. Il hausse doucement les épaules. « Qu'est-ce que ça peut me foutre de toute façon !? » Il sait que son père n'a plus aucune autorité. Il sait qu'il n'arrive pas à l'endiguer, son désastre. Alors, il en joue. Il ne se gêne pas. Il sort trop tard le soir, il boit bien trop. En fait, il se détruit. Pourquoi ? Parce qu'elle...n'est plus là. Doucement, il voit son père signer le papier et lui tendre. « C'est la dernière fois, Zayne, après je te fous à l'armée ! » Une menace. Il ne sait pas comment la prendre. C'est rare qu'il lui dise ce genre de choses. Mais, dans un sens, ça lui fait plaisir. Pourtant, il sait qu'il ne le fera pas. L'engager. Parce que ce serait le risque de le voir s'en aller à jamais, lui aussi. Doucement, il se tourne, sans une parole de plus. Sans un mot de plus. Parce qu'entre eux deux. Il n'y a plus rien à dire.
Chapitre 3
Échec, décadence. Rien n’avait changé. Rien à part son âge. Il avait encore loupé son année au lycée, redoublant encore et encore. Le lycée avait refusé sa réinscription. Son père avait osé. Il se tenait là, droit devant ce bâtiment à l’aspect à la fois austère et sublime. Vieux et architecturé comme il se doit. Un lycée. Un autre. Un lycée militaire. Doucement, il frissonne. Il ne veut pas aller là. Il s’est quasiment battu. Avec son père quand il lui avait annoncé cette décision. Enfin, une décision paternelle. Enfin à nouveau un peu d’autorité. Mais, là, il se dit que de l’autorité il en aura bien trop. Il ne veut pas et pourtant, l’homme qui vient de l’accueillir l’enjoint à entrer dans l’enceinte scolaire. Non, il ne deviendra pas militaire. C’est juste…comme un camp de redressement. Un lycée trop encadré, un lycée où on ne fait aucun pas de travers. Aucun…
Chapitre 4
Et comme il s'y était attendu, les premiers mois s'étaient déroulés au plus mal. Parce qu'il n'était pas prêt à accepter ce cadre. Il n'était pas prêt à laisser sa douleur surgir dans son corps à jeun. Non, il n'était pas prêt. Mais, les professeurs n'avaient pas accepté. De le voir arriver encore à moitié ivre. Non, ils ne l'avaient pas accepté. Jusqu'à ce jour. Un jour comme un autre. Un jour où on lui avait, encore, hurlé dessus à cause de son comportement. Un jour comme un autre, mais, un jour où on lui avait demandé de courir. Parce que c'était le court de sport. Courir jusqu'à ne plus avoir de force. Une punition comme une autre. Peut-être un peu trop sévère. Courir. Il n'avait jamais fait l'effort de le faire en sport, ni même ailleurs. Il trouvait cela inutile. Même s'il n'avait jamais essayé. Un jour comme un autre. Un jour où il avait rencontré son sauveur. Un tête-à-tête étonnant...
Il avait couru. Il avait couru jusqu'à ce que son cœur explose. Couru jusqu'à avoir mal aux pieds. Couru le plus vite possible, le plus fort possible, le plus longtemps possible. Couru sous les regards ébahit de ses professeurs. Couru jusqu'à s'envoler, jusqu'à sourire sans s'en rendre compte. Couru jusqu'à sentir l'air fouetter son visage. Tête-à-tête avec le vent. Tête-à-tête avec ce semblant de liberté. Il avait couru comme personne ici ne le faisait. Encore et encore. Jusqu'à tomber épuisé. Jusqu'à tomber souriant. Vidé, de tout. D'énergie, de douleur. Vidé, tout comme son esprit. Pensée noire envolé. Il se sentait libre, il se sentait bien. Depuis si longtemps, il se sentait bien. Qu'il en avait pleuré. Honteux devant ses professeurs. Honteux devant cette douleur qui le rongeait sans cesse. Honteux. Mais libéré.
Chapitre 5
Et, il avait continué. De courir. Avec les encouragements de cet homme, son prof. Il avait continué, lui, le petit gars aux longues jambes. Lui, la petite fusée. Il s'était entrainé, il avait participé à des compétitions. Il avait gagné. Oui, il avait gagné. Une passion, une libération. Une nouvelle vie. Loin de l'alcool et de la drogue. Loin... Malgré les difficultés avec son père. Ça allait mieux. Malgré son look encore trop décalé pour ses profs, ça allait mieux. Lui, il ressortait doucement. Du gouffre. Lui, il s'envolait doucement. Vers la célébrité. Le nouveau petit prodige. Le nouveau petit sur lequel beaucoup de choses reposent, beaucoup d'espoir se pose. Futur champion ? Futur athlète américain aux JO ? C'est dans les pensées de tous. Mais avant, avant tout ça, il faut qu'il ait son diplôme, il faut qu'il s'entraîne encore et encore. Ce qu'il fait, ce qu'il s'acharne à faire avec le sourire. Sourire perdu revenu. Un fantôme qui revient à la vie. Doucement, mais, surement.
Dernière édition par P. Zayne Mills le Sam 2 Aoû - 10:58, édité 1 fois
Sujet: Re: Il ne faut jamais se fier aux apparences + Zayne Sam 2 Aoû - 11:18
Merci beaucoup Vous aussi vous êtes beaux
Enora N. Jarkov
I'M COSMOPOLITE BABE
MESSAGES : 230 CRÉDITS : .liloo_59 INSCRIT LE : 10/06/2014 PSEUDO/PRÉNOM : HerSunshine (Charline) CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : barbara palvin
Sujet: Re: Il ne faut jamais se fier aux apparences + Zayne Sam 2 Aoû - 11:24
J'aime beaucoup ta fiche je t'annonce donc que tu es dès à présent... validéééé Fais comme chez toi, fais toi de nouveaux potes itout itout et n'oublie pas de recenser ton avatar
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Sujet: Re: Il ne faut jamais se fier aux apparences + Zayne