you want chocolate ? hey, calm it's a joke. (simes)

you want chocolate ? hey, calm it's a joke.

Siméon
feat.
James


Le jeune adulte sortit de son lit, encore ensommeillé, les yeux engourdis par le sommeil. Il se leva, difficilement, regardant l'heure sur son téléphone, qui lui indiqua qu'il était treize heures quinze. Il enfila ses tongs, qui lui servait de pantoufles, se dirigeant vers la salle de bain, et il jeta un coup d’œil à son reflet, dans le miroir, au dessus du lavabo. Son reflet était pitoyable, il n'arrivait pas à croire que c'était lui, ses cheveux étaient ébouriffés, sa peau blanche comme la neige, sa pupille aussi petite qu'une bille. Il se dénuda, posant ses vêtements qui n'étaient pas propre, dans le panier à linge, plein aux rebords. Il s'engouffra dans la douche, laissant l'eau chaude couler sur son corps nu. En sortant, il enroula ce dernier dans une serviette beige, autour de sa taille, tandis qu'il passait de la pièce humide, à sa chambre où il faisait un froid glacial, en raison des fenêtres ouvertes, et y prit un caleçon, avec un t-shirt marron, avec un paysage de Floride, dans un cadre au centre, avec un jean beige. Après avoir enfilé ses vêtements, le brun, se coiffa, rapidement, et sorti de la salle de bain à quatorze heures. Il marcha dans le couloir, pour rejoindre la cuisine, où il ouvrit le frigo. Ne voyant rien de près, ni sur le comptoir, ni dans le frigo, il se saisit d’œufs, qu'il fit chauffer, afin de se faire cuire une omelette, ne voulant pas se prendre la tête. Il s'asseya sur le canapé, son assiette sur les genoux, la télé allumée en face de lui. Après avoir fini son assiette, qu'il nettoya en quelques instants, il sortit une tablette de chocolat, d'un des placards, qu'il commença à manger tranquillement sur le canapé. Il entendit l'orage éclater, et ferma toutes les fenêtres de l'appartement, pour que la pluie ne rentre pas dans l'habitation, avant de se ré-installer dans le canapé, lorsqu'il entendit la porte d'entrée, claquer.
© Gasmask

“ you want chocolate ? hey, calm it's a joke. ”

Le jeune damoiseau, s'était levé à l'aurore ce matin. Il devait impérativement aller à son garage, pour parler à ses ouvriers pour leur donner les conseils pour la journée. De plus, Siméon se devait d'être le premier sur le lieu du travail. Puisque c'est lui le patron. Il devait montrer l'exemple aux autres. Même si des fois, cela l'énerve d'être toujours obligé de se lever de bonne heure. Le jeune homme passe la matinée, à faire de la paperasse dans son bureau ainsi d'aller voir ses ouvriers de temps à autre. Pour voir si le travail avancé et, ce qu'il restait à faire. Treize heures, voilà l'heure qu'affichait la montre de Siméon. Il avait une faim de loup. À la place, d'aller en ville s'acheter un petit casse-croûte. Il préférait de loin, rester chez lui et, se préparer un petit repas. Du moins, chez lui c'était un bien grand mot. Puisqu'il partage son appartement avec quatre autres minots qui ne font absolument rien. À par dormir jusqu'au début de l'après-midi et, ensuite glander toute la journée devant la télé. D'ailleurs, il se demandait réellement pourquoi il avait accepté de co-habiter avec eux. Puisque, plus le temps passe. Plus, Siméon s'arrache les cheveux avec eux. Toujours en train de leur crier dessus pour qu'il passe au minimum le balai voir l'aspirateur dans l'appartement. En somme, vivre avec ces jeunes était une vraie catastrophe pour le jeune damoiseau. Le pire, c'est qu'il ne pouvait même pas ramener une femme dans son appartement. Ce n'est même pas pensable avec ces jeunes. Ils seraient soient en train de critiquer ses goûts, soient ils prendraient un coup de chaud parce que Siméon ramène généralement que de belles femmes. Bref, il faisait le chemin du retour entre son garage et l'appartement à pied le téléphone portable à la main. Il ne pouvait pas filtrer d'appels. Il était dans l'obligation de répondre quoiqu'il arrive. C'est une dizaine de minutes plus tard, que Simes arrive à l'entrée de l'immeuble. Il monte les escaliers sans être essoufflé, pénètre sa clé dans la serrure. Il rentre dans l'appartement avant de claquer la porte d'entrée. Il ne savait pas si l'un des jeunes dormaient encore ou pas. Mais, il s'en contre-fichait. S'approchant de la cuisine pour ouvrir le frigo et regarder ce qu'il avait de bon pour cuisiner. Il n'avait même pas remarqué que James était sur le sofa à glander. La seule chose qui remarquait c'est que le frigo était vide. Archi vide. « .Bordel ! Personne ne fait les courses dans cet appartement, à par moi. » Maugréa-t-il d'un ton énervé ! À l'heure actuelle, personne pourrait calmer l'énervement du jeune homme. Il fallait encore moins le provoqué, si vous ne voulez pas avoir affaire à-lui. Finalement, il prend un paquet de macaroni dans le placard et, fit chauffer de l'eau pour faire cuire ses pâtes. Il aurait su comment le repas allait se passer. Siméon aurait été acheté un sandwich à la boulangerie à côté, où se payer un bon restaurant avant de retourner travaillé.

Spoiler:

Le brun sursauta, lorsque son plus vieux colocataire, hurla à travers le salon, qu'il n'y avait que lui qui faisait les courses dans cet appartement. Pour lui, les quatre jeunes n'étaient que des gamins, qui ne foutaient rien de leurs journées, mais James travaillait le soir, que pouvait-il faire la journée ? Il n'avait pas assez d'argent pour se payer des études, de toute façon. « Bonjour, sinon... » dit l'australien à l'égard de son colocataire italien, levant son majeur et son index, en sa direction. Il éteignit la télévision, car il ne voulait pas que sa meilleure amie, disjoncte à cause de l'orage. Il se posa à côté de l'italien, sa main droite contre sa hanche, l'autre posée sur le comptoir. « Bon, donne moi ça, va t'foutre sur le canapé, j'm'occupe des nouilles de monsieur. » dit-il en roulant des yeux, car un rien ne pouvait l'énerver dans la colocation. « Tu sais, faut que tu te détendes parfois, mon pote. »

Spoiler:

Ne se préoccupant aucunement des personnes qui pouvaient être présent dans la pièce. Simes venait à gueuler tout seul à travers l'appartement. C'était toujours les mêmes personne qui faisaient quelques choses dans ce logement. Les autres se tournaient les pouces et, se contentait de mettre la moitié du temps les pieds sous la table. Voir de s'empiffrer des conneries qui traînent dans l'appartement sans refaire les courses, derrière. Une attitude qui désespérait amèrement Siméon. Certes, c'était le plus riche de l'appartement. Mais, ça ne méritait pas le fait qu'il soit obligé de tout faire. « .Salut ! Tu es déjà debout toi ? Généralement, tu glandes jusqu'à quinze heures dans ton pieu. » Dit-il à l'encontre de son colocataire. Pour une fois que James n'avait rien fait. Simes s'en prenait à-lui gratuitement. Mais, étant énervé le jeune homme ne faisait guère la différence. De plus, le jeune damoiseau était trempée jusqu'aux os. Puisque dehors, c'était le déluge totale. Entre la pluie, l'orage et, cet appartement. Siméon n'avait vraiment pas de chance aujourd'hui. « .Si tu veux te rendre utile. Il fallait aller faire les courses ... » Soupira-t-il avant de refermer la casserole qui se tenait sur le gaz. Une réponse qui méritait d'être clair. Siméon ne voulait pas d'aide, encore moins celle de James. En attendant que l'eau bouille, Siméon se dirige dans sa chambre pour se changer. Il n'avait pas envie en prime de tomber malade. Une fois qu'il fut changé, il retourne dans la cuisine en s'arrêtant face à James. « .Comment tu veux que je m'apaise avec des colocataires pareils. » Encore une fois, Siméon n'allait pas de main morte dans ses propos.

Spoiler:

Tu subissais la colère de ton colocataire, parce que tu étais le seul réveillé, si l'on omet le grognon, qui lui se lève tous les jours, mais toi tu rentres en plein milieu de la nuit, c'est donc logique que tu te lèves tard. « Je ferais les courses demain matin, ou après-midi, on mangera pizza ou resto' ce soir ! » dis-tu en soupirant, les courses, il n'avait que ce mot à la bouche, ces temps-ci, il était... stressé, même pire que cela. « Tu sais, tu travailles la journée, moi le soir, eux... Bon ok, ils ne travaillent pas, mais on a tous une vie sociale. » râlas-tu à ton tour, parce que oui, il arrivait à te faire râler, dans ces cas-là, où il passe sa journée à râler, après toi en général. « Au lieu de te défouler sur moi, bouffe tes nouilles. » dis-tu d'un ton sec, à l'égard du brun, repartant t'installer dans ton canapé, tu t'en foutais de ce qu'il pouvait te dire, ce n'était pas le chef, encore moins le roi.

(excuse-moi pour le temps. you want chocolate ? hey, calm it's a joke. (simes) 1154393922

et pour le changement de 'il' à 'tu', c'est que je suis trop habituée à écrire avec tu. you want chocolate ? hey, calm it's a joke. (simes) 1154393922

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