Sujet: Gabriel - why women always pick the wrong man Lun 4 Aoû - 16:34
Gabriel Andrea Mendez
ft Theo James
Je me prénomme Gabriel Andrea Mendez et je suis venu au monde le 16 juillet 1985 à New York, il y a maintenant 29 ans de cela. J'ai des origines origines de ton personnage et j'en suis bien entendu très fier(e). Je suis certain(e) qu'en regardant ma photo tu te dis, je l'ai déjà aperçu quelque part. Et bien, dans la vie je suis chef de la police de New York et malgré tout ce qu'on peut dire, je garde la tête sur les épaules et ne prend pas la grosse tête. D'ailleurs, j'ai rejoint les Manhattan et je suis fière de faire partie de cette fratrie. Dans ce monde de brutes, je suis hétérosexuel. Si tu me croises dans les rues de New York, tu me confondras sûrement avec Theo James. Je voudrais te dire une dernière chose petite chose, dans la vie tu entendras surement des rumeurs me concernant mais, sache que je suis célibataire et coureur de jupons et que je suis bien mieux ainsi.
J’ai toujours voulu me faire un tatouage, du moins, depuis que je suis adolescent. Mais je n’ai jamais sauté le pas. Car dans le métier que j’exerce, tous ces signes extérieurs comme les tatouages ou les piercings sont prohibés. Ou plutôt, fortement déconseillés. L’apparence joue un rôle crucial pour un chef de la police, il faut donc être impeccable de ce point de vue là. Comment voulez-vous qu’une personne vous fasse confiance pour sa protection, pour son avenir, si vous avez des trous plein la tête où de l’encre partout sur le corps ? Alors oui, j’aurai très bien pu me faire un tatouage à un endroit recouvert par les vêtements, un endroit inaccessible à la vision des gens, mais je ne l’ai pas fait. Presque toutes les personnes que je connais m’ont dit qu’une fois qu’on a un tatouage, on en veut d’autres et je n’ai pas envie de tomber dans cet engrenage tout en prenant le risque de saborder ma carrière. Non, je me dois d’être impeccable en toutes circonstances et il en va de même pour le style vestimentaire. Au travail, l’uniforme est de mise tous les jours, le moindre écart n’est pas permis.
Si la vie m’a bien appris une chose après toutes ces années, c’est qu’elle ne sourit qu’aux battants, à ceux qui en veulent et qui n’abandonnent pas une fois les premières difficultés venues. Je suis un self-made-man, parti de rien, j’ai réussi à me frayer un chemin vers la grandeur. Mon père fut un exemple, il a toujours souhaité que je marche dans ses pas, à ses yeux c’était ma destinée, c’était une évidence. Pour moi c’était loin d’être le cas. Alors je me suis battu, j’ai toujours bossé pour lui montrer que je pouvais être celui qu’il désirait, mais je voulais également obtenir un diplôme avant de m’engager dans la police, c’était un moyen ainsi pour moi de pouvoir me retourner si jamais un jour j’en aurais marre de mon job. J’ai travaillé comme un forcené pour obtenir une bourse d’études pour l’université. J’ai toujours fait tout ce qui était en mon pouvoir pour réaliser mes rêves, je pense que c’est mon principal trait de caractère, je n’abandonne jamais, ou presque. L’unique fois où j’ai baissé les bras me reste toujours en travers de la gorge, c’est sûrement mon plus grand regret. La sphère dans laquelle j’évolue m’a également poussé à me forger un mental à toute épreuve, j’ai étudié et je travaille dans un monde de requins où l’on est prêt à vous sauter à la gorge au moindre faux pas. Je l’ai très vite compris et cela m’a poussé à vêtir cette carapace arrogante que j’arbore jour après jour. Aux yeux d’inconnus, cette arrogance et cette confiance en soi peuvent être exécrables, je le conçois, mais là encore, je n’ai pas le choix si je veux réussir dans ce que je fais. J’ai déjà essayé d’être adorable mais ce milieu ne fonctionne pas ainsi. Être gentil est un signe de faiblesse, soyez gentil et vous vous ferez bouffer en quelques secondes. Ce comportement que j’avais décidé d’adopter uniquement dans ma vie professionnelle a fini par déteindre sur ma vie privée. Ce sont probablement les quelques trahisons qui m’ont poussé à agir de la sorte, les gens dignes de confiance sont bien trop rares, même parmi votre cercle d’amis. Les gens qui ne me connaissent pas me décriront donc sûrement comme quelqu’un de cynique, quelqu’un de froid, et ça tombe bien, c’est l’image que je souhaite dégager, celle de quelqu’un qu’on ne peut pas avoir facilement. Néanmoins, mes proches, mes vrais amis, ceux sur qui je sais que je peux compter, je serai prêt à tout pour eux, aussi profonde soit une carapace, je reste persuadé que personne ne peut avancer sans vrais amis à ses côtés, c’est ce qui nous pousse à prendre les bonnes décisions, jour après jour. Puis il y a la famille, eux, ils sont encore un cran au-dessus, je crois qu’à mes yeux il n’y a rien de plus important que la famille, rien de plus important que les liens du sang. Ma famille, c’est ma vie, si jamais je dois me sacrifier pour eux, je le fais sans réfléchir, je serai même prêt à tuer pour eux s’il le fallait. Peut-être qu’un tel sens de la famille est vieux jeu, je ne sais pas. Et à vrai dire, je n’en ai strictement rien à foutre.
Il a une conception bien particulière de l’amour. Il ne le cache pas. D’ailleurs, la notion de fidélité reste un mystère pour lui. Peut être parce qu’il n’a pas trouver la personne. Il aime aussi trop son indépendance pour rester enfermer dans une relation de couple traditionnel. Il aime s’ouvrir aux nouvelles expériences. Il se fiche d’aller à l’encontre du politiquement correct. Il ne cherche pas à rentrer dans des cases, ni même à faire l’unanimité. Si pour mener la vie qu’il lui plaît, il faut absolument qu’il choque, soit il le fera. Il n’a pas de problèmes de conscience de ce côté-là. Aussi, même s'il couche avec tout le monde, sachez qu'il ne faut pas jouer avec le feu il est très jaloux alors n'approchez pas trop de ses proies.
when I said life I said mine
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Fabio et j'ai 23 ans. Je suis français et j'ai connu le forum grâce à bazzart. Le forum est tout nouveau, tout beau d'où mon intérêt pour celui-ci, puis le contexte laisse pas mal de possibilités donc c'est cool, alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Theo James comme avatar et mes images ont été faites par avatar moi même, signature tumblr. Mon personnage est un personnage scénario crée par la belle Jazmine l-carstairs.
Dernière édition par Gabriel A. Mendez le Lun 4 Aoû - 18:04, édité 4 fois
Gabriel A. Mendez
I'M COSMOPOLITE BABE
MESSAGES : 87 AGE : 33 INSCRIT LE : 04/08/2014 PSEUDO/PRÉNOM : Fabio CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : Theo James
Sujet: Re: Gabriel - why women always pick the wrong man Lun 4 Aoû - 16:35
don't you mind my story
Je te reconnaîtrai entre mille.
when i was born
Le bruit de cette pluie battante qui venait s’écraser contre les vitres de cette chambre d’hôpital était totalement masqué par les cris du nouveau né. La mère avait souffert, elle avait poussé, elle avait crié, elle avait tout donné pour que la vie lui donne ce fils en retour. La pâleur et la froideur de ses murs d’un blanc pale n’y pouvait rien, aujourd’hui, la famille Mendez était la plus heureuse de toutes, cela pouvait se lire sur leurs visages. La jeune femme relâchait l’étreinte sur la main de son mari. Elle l’avait serré si fort pendant l’accouchement qu’il n’avait désormais plus aucune sensation avec, mais il s’en foutait. Il avait un fils, un petit garçon qu’il allait aimer de tout son cœur, de tout son être. La peur et la douleur de la mise au monde avaient fait place au soulagement et à l’enthousiasme. La vie allait lentement reprendre son cours, ou plutôt donner à cette famille un nouveau départ. Sur la longue et sinueuse route qu’était la vie, c’était un virage à cent quatre-vingt degrés qu’il allait falloir négocier. Une nouvelle arrivée dans le foyer et toutes les habitudes, tout le quotidien allaient se retrouver bouleversé. Mais c’était un défi qu’ils étaient prêts à relever, ils avaient toujours aimé les challenges et celui-ci était probablement le plus beau que la vie pouvait leur offrir. Vivant avec passion, avec amour, ils étaient persuadés que ce bébé était la seule chose qui leur manquait pour être pleinement heureux. Un souffle d’air chaud, quelques larmes, un baiser sur son front plissé. Il était là, bien vivant, blottit dans ses bras, ne demandant qu’une seule chose. Vivre. Vivre une vie que ses parents espéraient bien remplie, que ce soit d’aventures ou même de joie. Alors bien sûr, ça n’allait sûrement pas être facile tous les jours, cela faisait une bouche de plus à nourrir dans le foyer, mais les parents Mendez s’étaient jurés de faire tout ce qu’ils pouvaient pour rendre cet enfant heureux. Devon, le père, était chef de la police. Il était d’ailleurs encore plus heureux que cet enfant soit un garçon, cela lui ferait quelqu’un pour reprendre la relève il serait trop vieux du moins c'est ce qu'il espérait au fond de son coeur. Lana, la mère, travaillait comme vendeuse dans un magasin de prêt-à-porter. Les revenus de la famille étaient modestes, ils en avaient bien conscience, mais pour eux, l’amour valait bien plus que toute forme de richesse, un enfant élevé dans l’amour ne pouvait qu’être heureux et c’est comme ça qu’ils comptaient élever leur fils, fils qu’ils avaient décidé de prénommer Gabriel.
L'adolescence, cette douce tendance
« Votre fils a du mal à se concentrer en cours. Ses notes sont correctes mais, j’ai l’impression qu’il se fiche pas mal de tout ça… Et il n’a que onze ans. » Je n’avais jamais été passionné par les cours. J’étais plutôt du genre à observer les gens qui m’entouraient, à m’imaginer à quoi ressembler leurs vies ou à regarder les nuages et à me surprendre à vouloir en être un. Personne pour vous dire quoi faire… La liberté totale, en somme. Sauf que je n’étais qu’un gamin et il était hors de question que je me mette à sécher les cours. J’étais loin de penser à des trucs pareils. Je préférai m’amuser avec ceux de ma classe. A cette époque, je ne faisais pas encore attention aux filles. Enfin, pas comme maintenant. Je les trouvais étrange, trop différentes, parfois franchement stupides. Bref, j’évitais de me mêler à elles comme si j’avais peur de ce qui pourrait m’arriver si je les fréquentais. Mike, mon meilleur ami de son côté, cherchait déjà la future femme de sa vie. Treize ans et déjà, Môssieur pensait au mariage alors qu’il ignorait tout ce que ça impliqué et ne connaissait rien à l’amour. Mon père ne manqua pas rapidement de rétorquais à la professeur d'école des propos qui vinrent à me faire changer ma vision des choses quand à mon avenir scolaire « Mon fils a un destin tout tracé vous savez, il sera un grand policier comme son père, donc l'école n'est pas sa priorité dans la vie, ne vous en inquiétez pas plus que ça ... » La jeune femme resta sans un mot et c'est les mots redondants dans ma tête qu'on rentra à la maison mon père et moi.
ici une citation
Je le savais depuis bien fort longtemps, mon père espérait bien que je suive ses traces dans les rangs de la police new yorkaise. Il le criait haut et fort partout où on allait et où il vanter mes capacités physiques en faisant de moi un véritable petit champion. Certes toute cette joie, cette admiration que je ressentais dans ses yeux était plaisante et réconfortante, mais elle était surtout une décision qu’il avait prit seul. Oui je disais souvent et ce depuis mon plus jeune âge que je désirais être comme papa plus tard, mais plus je grandissais et plus mon désir d’apprendre davantage que ce que j’allais pouvoir apprendre au sein de la police, devenait important. C’est ainsi qu’après l’obtention de mon bac, alors que mon père se réjouissait de mon entrée à l’académie de police, je pris une toute autre direction dont il ne fut pas très réjouit dans un premier temps. Je voulais également obtenir un diplôme avant de m’engager dans la police, c’était un moyen ainsi pour moi de pouvoir me retourner si jamais un jour j’en aurais marre de mon job. J’ai travaillé comme un forcené pour obtenir une bourse d’études pour l’université. J’ai toujours fait tout ce qui était en mon pouvoir pour réaliser mes rêves, je pense que c’est mon principal trait de caractère, je n’abandonne jamais, ou presque. J’ai finalement obtenu mon diplôme de droit (oui ce n’était tout de même pas si inutile que ça, puisqu’il pourrait m’être utile en travaillant dans la police) avec mention avant de rejoindre l’académie de police où mon père ne me rendit pas la tâche plus facile bien au contraire, j’étais son fils et je devais faire mes preuves dix fois plus que les autres candidats.
nowadays
Faisant mes preuves plus que personne dans l’unité, je fus rapidement engagé au sein de la police new yorkaise. Faisant ainsi la fierté de mon père ma vie fut rapidement un véritable bonheur. Du moins en apparence puisque si je m’épanouissais chaque jour un peu plus dans mon travail, chaque affaire, chaque cas difficile m’affecté mentalement, faire ce métier n’est pas aussi facile que l’on pourrait le penser. D’autant plus qu’il y a un quatre ans maintenant mon père perdu dans la vie dans un accident de la route, mon chagrin fut si intense qu’il me fallut plusieurs mois avant que je puisse reprendre le travail. À ce moment là quand je repris le travail je ne pensais plus qu’à ça, travail, travail, travail je n’avais plus que ça en tête. Je devins ainsi rapidement une autre personne, plus froide, plus distante, plus manipulatrice.
L’affaire qui me marqua très particulièrement fut l’affaire qui concerna la famille Lightway et notamment les deux frères, ils baignaient tous deux dans des histoires de mafia, de trafic, de meurtre. Je m’étais alors rapproché stratégiquement de la femme de l’un des frères, de Leo pour mieux les appréhender et ainsi mieux les cerner. Me prenant à mon propre jeu, je tombais sous le charme de cette superbe belle femme, elle était belle c’est indéniable, pour dire le contraire il faudrait être aveugle et encore. Puis les jours avançaient, plus son charme me séduisait et emprisonnait mon coeur si inaccessible pourtant. Je ne laissais paraître aucun de mes sentiments, car j’étais avant tout là pour le boulot. Jusqu’au jour où son mari me tira dessus, par chance la balle ne toucha aucun organe vital et je pus m’en sortir et lui finir derrière les barreaux pendant deux ans. Pendant ce temps là je pus me rapprocher de Jazmine, elle divorça même de son mari … le seul hic de l’histoire c’était son meilleur ami, le frère de son ex-mari. J’aurais aimé le faire couler lui aussi mais je n’avais pas encore assez de preuves pour l’arrêter, mais il ne perdait rien pour attendre. Ce qui me rapprocha le plus de la belle brune fut malheureusement son accident de la route qui faillit lui coûter la vie. Je restais alors à ses côtés pendant de long mois, étant son confident, l’épaule sur laquelle elle pouvait se reposer. J’ai cru en elle et en sa chance de pouvoir se relever et être à nouveau la meilleure dans son domaine, la danse.
Aujourd’hui deux ans plus tard, nous sommes elle et moi plus proche que jamais, notre relation est intense, passionnée … mais si complexe. Elle m’attire c’est indéniable, mais je n’ose pourtant concrètement rien avec elle, peut être parce que justement je veux faire les choses de façon convenable avec elle, pas comme avec toutes les autres filles que j’enchaine soir après soir. Son ex-mari vient de sortir de prison, son meilleur ami me déteste, que nous réserve l’avenir, tel est la question.
Dernière édition par Gabriel A. Mendez le Lun 4 Aoû - 21:10, édité 7 fois
Eli Lightway
I'M COSMOPOLITE BABE
MESSAGES : 124 CRÉDITS : mesouviensplus(avatar) gifs(tumblr) INSCRIT LE : 04/06/2014 PSEUDO/PRÉNOM : motley control. (Andie) CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : Garrett perfect man Hedlund