∞ from this dark cold hotel room and the endlessness that you fear.
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Nora McLean
I'M COSMOPOLITE BABE
MESSAGES : 25 INSCRIT LE : 03/08/2014 PSEUDO/PRÉNOM : birds CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : holland roden
Sujet: ∞ from this dark cold hotel room and the endlessness that you fear. Dim 3 Aoû - 17:31
nora mclean
ft holland roden
Je me prénomme Nora Ailein McLean et je suis venu(e) au monde le deux décembre 1988 à New York, il y a maintenant 25 ans de cela. J'ai des origines écossaises et j'en suis bien entendu très fier(e). Je suis certain(e) qu'en regardant ma photo tu te dis, je l'ai déjà aperçu quelque part. Et bien, dans la vie je suis interne en psychiatrie et malgré tout ce qu'on peut dire, je garde la tête sur les épaules et ne prend pas la grosse tête. D'ailleurs, j'ai rejoint les manhattan et je suis fière de faire partie de cette fratrie. Dans ce monde de brutes, je suis hétérosexuelle. Si tu me croises dans les rues de New York, tu me confondras sûrement avec Holland Roden. Je voudrais te dire une dernière chose petite chose, dans la vie tu entendras surement des rumeurs me concernant mais, sache que je suis célibataire et que je suis bien mieux ainsi.
+ Elle n’a pas parlé à ses parents depuis plus de cinq ans. Son frère l’avait invité il y a quelques mois à venir fêter ses fiançailles, et Nora était prête à affronter tout ce beau monde dans la joie et la bonne humeur des reproches habituels, jusqu’à ce que son aîné annule. Apparemment, il aurait trouvé sa fiancée avec un de ses exs dans le – futur – lit conjugal. Tant pis pour les retrouvailles. + Si elle a choisi la psychiatrie, c’est en partie à cause de West. Il lui avait toujours dit qu’elle était douée pour écouter les autres, et son envie d’aider s’était muée en une passion dévorante pour ces cas cliniques dont personne ne veut. Et si on lui a souvent conseillé de renoncer à un milieu dans lequel il semble parfois falloir la force d’une carrure masculine, la rousse a su montrer que la douceur au féminin a aussi, très souvent, du bon. + Cole et elle ont changés quatre fois d’appartements en six ans. La dernière fois, c’était probablement de sa faute ; la propriétaire n’ayant probablement pas aimé qu’une des conquête de Cole détruise sa fenêtre à coup de tabouret. Comprenez qu’elle avait traité Nora de névrosée, et que celle-ci avait préféré lui parler de la vrai névrose de certain de ses patients – tout en diagnostiquant la blonde plantureuse qui se trouvait en fasse d’elle. Qu’avait-elle pu ne pas aimer… le maniaco dépressive ou dépendance maladive résultant probablement d’un Oedipe profond ? Bref. + Elle a fait des années de piano, mais n’a pas touché à un clavier depuis une dizaine d’année. Pourtant, elle trouve toujours aussi apaisant un petit morceau, que ce soit dans le métro ou en salle de repos. Elle a également été formée au karaté par son père qui refusait l’idée que sa petite fille puisse se balader dans les rues de New York ou d’ailleurs sans défense. Ca ne lui a servit qu’une fois – quant elle a du virer la blonde dudit ancien appartement. + C’est une rousse naturelle, pure et dure. Son père était roux, son grand père était roux, ses enfants et ses petits enfants étaient (pardon). Si on l’a quelque peu embêté étant jeune avec cette couleur de cheveux, elle en a toujours été très fière. C’est, avec son nom et un bracelet de famille, tout ce qui lui reste de ses origines écossaises. + Elle est réfractaire à la technologie. Ses amis et collègues n’arrivent jamais à la joindre pour la simple et bonne raison que son portable, s’il est sur elle, ce qui est déjà un exploit, et la plupart du temps éteint ou en silencieux. La seule chose qu’elle accepte, c’est son biper. Le reste peut aller se faire voir. Ils n’ont qu’à lui envoyer un pigeon voyageur.
when I said life I said mine
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle birds et j'ai vingt-trois ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart. Je cherchais quelque chose de nouveau, de neuf et de beau alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise holland roden comme avatar et mes images ont été faites par clever love. pour l'avatar et tumblr pour les gifs. Mon personnage est un personnage inventé.
Dernière édition par Nora McLean le Dim 3 Aoû - 22:37, édité 7 fois
Nora McLean
I'M COSMOPOLITE BABE
MESSAGES : 25 INSCRIT LE : 03/08/2014 PSEUDO/PRÉNOM : birds CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : holland roden
Sujet: Re: ∞ from this dark cold hotel room and the endlessness that you fear. Dim 3 Aoû - 17:31
don't you mind my story
Je te reconnaîtrai entre mille.
Love, genuine passionate love, was hers for the first time.
Je ne sais pas franchement comment décrire ma vie d’avant. Du plus loin que je me souvienne, je me suis réveillée ce jour là. Cet autre passé… il peut être résumé en quelques lignes. Un père militaire, une mère infirmière, pas forcément la plus grande fortune de New York mais une fierté et une détermination à toute épreuve. Un frère ainé devenu chef d’entreprise. Ma vie avant lui n’avait été qu’une succession de défis que ce climat me poussait à relever. Avoir les notes nécessaires pour entrer dans cette école privée. Me déterminer un avenir avant l’âge de seize ans. Et travailler doublement pour rentrer dans ces grandes universités qui font la fierté de tous. Tu es une McLean, l’une des plus vieilles famille d’Écosse ; make us proud !... quelle connerie. Ou bien était-ce moi ? Peu importe. Ma vie a complètement changé dans ce centre commercial du centre de Manhattan. C’est con, vous savez, comme histoire. Un gars, son pote, une fille, sa copine. J’étais la copine, il était le pote. Jill et moi étions simplement dans la même classe, l’amitié était simple, les questions pas encore posées. Cole et lui, c’était une autre histoire ; de ces amitiés tenant plus de la fraternité qu’autre chose. Ils auraient donné leur vie, l’un pour l’autre. Cole voulait Jill depuis qu’il l’avait vu dans cette boite de nuit quelques jours plus tôt, il n’était pas franchement de ces gentils garçons que nos parents rêvaient de nous voir épouser ; en somme, il était le garçon parfait. Entre eux, c’était passionné, destructeur. J’ai aimé leur histoire dès la première minute. Puis, je l’ai vu. Lui, l’acolyte, celui qui passe toujours en second mais qui a toute son importance. Pour moi, en tout cas. Il s’appelait Edward, mais je ne l’ai su que quelques mois plus tard. Pendant tout ce temps, et comme tout le monde, je l’ai appelé West. Allez savoir… la seule chose qu’il m’a dit, c’est que ce surnom avait définitivement été adopté alors que la frénésie Twilight commençait. Toujours est-il que sa sensibilité m’a tout de suite touchée. Non, il n’était pas le monstre de connaissance dont je rêvais parfois. Il avait dix-huit ans, était mécanicien depuis qu’il avait abandonné le lycée, et vivait sa vie à cent à l’heure. J’avais dix-sept ans, Dartmouth et ses études de médecine me tendait les bras et tout était prévu d’avance. Je n’avais qu’à me laisser couler. Seulement… je crois que je l’ai aimé dès qu’il m’a souri. Mais je ne connaissais rien à l’amour, comme disait ma mère. Pourtant, il n’a pas hésité à me tendre la main, pour me guider. Avec dans notre sillage les amoureux maudits qu’étaient Jill et Cole, nous avons sillonné la ville, et j’avais l’impression que ma vie décollait enfin. Tout ceci a duré six mois. C’est con, hein, six mois. Dans une vie, ce n’est définitivement rien. Dans ma vie, ça a tout changé. J’avais dix-sept ans, j’étais conne et amoureuse, et West venait de me quitter ; définitivement.
But who can remember pain, once it’s over? All that remains of it is a shadow, not in the mind even, in the flesh.
Nous étions tous censés nous rejoindre ce soir là pour une soirée dans un bar tenu par une connaissance des garçons. West m’a appelé pour me dire qu’il devait passer prendre Cole, Jill et lui s’étant encore engueulé – ce qui était relativement commun pour ces deux là. J’ai du attendre quoi, deux heures, sur un banc, avant de sentir que quelque chose n’allait pas ? Je ne sais même pas comment j’ai pu attendre tout ce temps. Lorsque j’ai appelé mon frère aux alentours d’une heure du matin pour qu’il vienne me chercher, j’avais presque envie de les détester pour m’avoir plantée là… S’en est suivi la déchéance de l’annonce. En voulant éviter des piétons sortis de nulle part, il n’avait pas remarqué le stop et le choc de la percussion avec la voiture arrivant dans l’autre sens… Il n’était même pas encore chez Cole. C’est lui qui m’a annoncé la nouvelle. Il n’a pas eu a dire un mot, le regard qu’il m’a lancé était assez déchirant pour comprendre. Pourtant, j’ai mis quelques jours à accepter la chose. Quelques jours de mutisme, avant l’enterrement. Il n’y avait personne, dans ce cimetière vide. Quatre, cinq personne tout au plus, en plus de Cole et moi. Je crois que c’est la première fois où je l’ai vu pleurer. Avant qu’il ne s’en aille, sans demander son reste. Jill aussi, était en silence radio. Et pendant deux mois, je me suis retrouvée seule dans ce mélange de peine, d’incompréhension et de haine. Parce que je les détestais de m’avoir laissée, de l’avoir laissé. De ne pas… j’aurais voulu tout envoyer valser, si vous saviez. Cette famille qui s’attendait à me voir réagir, ces études qui n’attendaient que moi, cette vie qui continuait ; sans lui. Puis Cole est revenu. Comme un météore, qui est venu frapper à ma porte un matin, me réveillant de plein fouet. « Viens, on va faire un tour » qu’il m’a dit. Et ca m’a suffit pour lui pardonner son absence et ses non dits. Ca m’a suffit.
Memory is a cruel mistress with whom we all must learn to dance.
Nous sommes longuement resté assis là, dans un parc de la ville, à regarder les gens passer devant nous. Nous n’avions pas forcément besoin de parler, après tout, le simple faite de retrouver une présence familière, compréhensive, nous suffisait. J’ai appris par la suite qu’il avait quitté le pays pendant ces deux mois, incapable de faire face à la perte de son ami. Qu’il n’avait plus eu de nouvelles de Jill depuis ce jour. Cette fille qu’il avait, je le pense, profondément aimé, n’était plus aujourd’hui qu’un vague souvenir, une ombre dans nos vies. Nous ne nous sommes rien dit pendant un long moment, sur ce banc. Mais quelque chose avait changé entre nous, sans même que nous ne nous en rendions compte. Pendant quelques semaines, Cole venait me chercher, tout les jours, afin que je sorte de ce cercle vicieux. Je pense sincèrement qu’il m’a sauvé, à ce moment là. Mais je pense aussi qu’il en avait besoin, pour ne pas sombrer. « Je ne peux pas continuer, tu sais. Ils attendent tous de moi que je fasse mes valises pour Dartmouth, que j’avance mais… je ne peux pas quitter New York. Je ne peux pas. » mon père avait réussi à convaincre les admissions de me donner un délai supplémentaire afin que je rejoigne leurs rangs, mais m’arracher à cette ville devenait de plus en plus improbable. Et Cole semblait être le seul à le comprendre. « Alors reste. Tu as bien été accepté à NYU, non ? » secouant la tête, il ne semblait pas comprendre l’étendue des enjeux de cette décision. « Si je reste ici, adieu ma bourse d’étude, au moins pour cette année ! Et mes parents… jamais ils n’accepteront que je tourne le dos à tout ce dont ils rêvaient. » je n’avais jamais vu autant de détermination dans le regard de quelqu’un. Autant d’assurance, autant de courage, aussi. « Si tu veux rester, reste. On trouvera une solution. » alors je suis restée. J’ai emménagé chez Cole quelques semaines après, mes parents ayant émis le souhait que je quitte le foyer familial – oui, toujours les belles formules pour simplement me dire qu’ils me viraient de la maison. Je ne sais même pas encore comment il s’est débrouillé, mais Cole s’est chargé des frais d’inscriptions de ma première année sans même que j’ai eu mon mot à dire. Pendant plus de cinq ans, il a enchainé les petits boulots pour nous payer le loyer, et jamais, jamais il ne m’a fait de reproche. Et je ne pense pas lui avoir demandé grand chose en échange. Nous sommes de ces amis simples et logiques ; atypiques, sûrement. Je tuerais, pour lui. Et lui pour moi. Parce que nous nous devons tellement plus qu’une simple vie… j’ai essayé de l’embrasser, une fois, un an après la mort de West. Et il a voulu y répondre. Mais l’évidence de la chose a tout arrêté ; nous ne sommes pas fait pour être ensemble. Nous sommes fait pour nous faire vivre, pour nous pousser, pour prendre soin, l’un de l’autre. Et c’est mon tour, je le sens. Il a trop longtemps été le pilier de ma vie. Aujourd’hui… je veux qu’il reprenne le cours de sa vie. Qu’il trouve quelque chose qui le passionne plutôt que de se tuer entre deux jobs qu’il déteste. Qu’il soit heureux. Qu’il trouve quelqu’un… qu’il arrête de rêvé d’elle, la nuit, et de murmurer son nom. Parce que je l’entends, même si je ne dis rien. Il a ce goût d’inachevé qui l’empêche d’oublier Jill, même après tout ce temps. Et maintenant que les choses vont mieux pour moi… c’est son tour. Moi, j’ai l’hôpital, mes patients, ma passion, ma vie. Les hommes sont parfois de passages, mais rien ne presse. Je panse les plais des autres cœurs et songe a guérir le mien. Un jour. Quand la peine aura cessé. Si elle cesse un jour. Mais en attendant… ça va bientôt faire dix ans que ce semblant de vie d’une inconnue de New York a basculé. Et je suis toujours debout. C’est un bon début.
Dernière édition par Nora McLean le Dim 3 Aoû - 22:19, édité 5 fois
Sujet: Re: ∞ from this dark cold hotel room and the endlessness that you fear. Dim 3 Aoû - 18:13
HOLLAND. Bienvenue mademoiselle :)
Enora N. Jarkov
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MESSAGES : 230 CRÉDITS : .liloo_59 INSCRIT LE : 10/06/2014 PSEUDO/PRÉNOM : HerSunshine (Charline) CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : barbara palvin
Sujet: Re: ∞ from this dark cold hotel room and the endlessness that you fear. Dim 3 Aoû - 18:33
OMGGGGG RODEEEEN, L'AMOUR DE MA VIIIIIIE Nan sérieux je la vénère cette femme Bienvenue parmi nous, garde moi un lien
Nora McLean
I'M COSMOPOLITE BABE
MESSAGES : 25 INSCRIT LE : 03/08/2014 PSEUDO/PRÉNOM : birds CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : holland roden
Sujet: Re: ∞ from this dark cold hotel room and the endlessness that you fear. Dim 3 Aoû - 18:37
chris on le voit trop rarement. je suis d'accord, holland est vénérable
Invité
Invité
Sujet: Re: ∞ from this dark cold hotel room and the endlessness that you fear. Dim 3 Aoû - 19:07
bienvenue et magnifique choix d'avatar
Ondine L. Blake
I'M COSMOPOLITE BABE
MESSAGES : 54 AGE : 30 CRÉDITS : cranberry & tumblr INSCRIT LE : 01/08/2014 PSEUDO/PRÉNOM : Jen aka Soyo. CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : Selena Marie Gomez
Sujet: Re: ∞ from this dark cold hotel room and the endlessness that you fear. Dim 3 Aoû - 19:35
OMG Holland la perfection Bienvenue parmi nous
Nora McLean
I'M COSMOPOLITE BABE
MESSAGES : 25 INSCRIT LE : 03/08/2014 PSEUDO/PRÉNOM : birds CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : holland roden
Sujet: Re: ∞ from this dark cold hotel room and the endlessness that you fear. Dim 3 Aoû - 22:38
merci à vous deux, que de jolis avatars par ici bon, je suis pas franchement fan fan de la manière dont j'ai tourné les choses, mais je pense avoir fini.
Jazmine L-Carstairs
♡ CAN YOU FEEL THE LOVE TONIGHT
MESSAGES : 885 CRÉDITS : Glamor (avatar) ✰ tumblr + bazzart (sign) INSCRIT LE : 30/05/2014 PSEUDO/PRÉNOM : dark horse ★ jennifer. CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : nina (sexbomb) dobrev.